La politique nationale, qui est gérée par l’INCa (Institut National du Cancer), a financé, dans chaque région, des réseaux de surveillance pour les personnes qui ont des risques génétiques de cancer. Toute la France est couverte par ces réseaux. Certains réseaux s’occupent à la fois des risques digestifs et des risques gynécos, et parfois, comme c’est le cas en Région Ile-de-France, ce sont des réseaux séparés.
En Région Parisienne, c’est le PRED-IdF : Prédisposition Digestive Ile-de-France.
Au début de sa création, en 2009, c’était une expérience pilote, en partenariat avec trois hôpitaux (Cochin, Georges Pompidou et St Antoine). Le réseau est en train de s’étendre progressivement, en fonction des moyens et des demandes.
Intérêt du Réseau
Pour les patients : | Pour les sites participants : |
• Médecins et IDE référents connaissant la pathologie, • Etablissement d’un Plan Personnalisé de Suivi (PPS), • Suivi selon des recommandations régulièrement mises à jour, • Suivi sur le site ou à l’extérieur au choix, • Vérification du suivi et de sa qualité, courriers de rappels, mise à jour du PPS. |
• Experts sur le sujet, • Amélioration des interactions entre les intervenants et les circuits patients, • Mise en place d’une RCP dédiée et d’une RCP trimestrielle commune de recours, • Référentiel commun de prise en charge pour une harmonisation des pratiques, • Logiciel de suivi des dossiers / Personnel dédié au suivi • Participation à la recherche clinique. |